M3 Systems opère un tournant sur la scène automobile internationale en accompagnant ses premiers clients chinois, russes et américains. La société fait désormais référence dans les secteurs du transport terrestre au travers de sa gamme logicielle : StellaNGC.
En 2017, la société remporte un contrat avec l’opérateur de satellites EUTELSAT pour fournir un équipement de surveillance du signal émis par la charge utile EGNOS- GEO3 du programme EGNOS-V3.
En 2016, une première activité dans le domaine ferroviaire a permis de réaliser une collecte de données GNSS sur la ligne Toulouse-Rodez dans le cadre du projet GEOFER, cofinancé par la Région Occitanie. M3 Systems gagne cette même année le projet SKYOPENER pour le compte de la GSA qui vise à étudier l’insertion des drones dans l’espace aérien ainsi que le projet MISTRALE qui vise à étudier la réflectométrie GNSS par l’usage des drones.
En 2015, la Société Boréal (fabricant de drones à grande élongation) est rattachée au Groupe Mistral, composé de M3 Systems France et de M3 Systems Belgium.
En 2013, le premier produit STELLA-NGC de simulation GNSS est vendu à ESSP ce qui ouvre la voie à cette ligne de produits qui sera vendu à partir de 2015 à plusieurs industriels de l’automobile. C’est le résultat du partenariat initié quelques années plus tôt avec la société National Instruments basée au Texas.
En 2011, M3 Systems se distingue en proposant à la GSA un concept innovant de positionnement distant utilisant les signaux cryptés Galileo (PRS) avec le projet ULTRA . Ce projet ouvrira de nouvelles perspectives d’applications et donnera lieu à de nombreux développements en Europe.
En 2010, Marc Pollina fonde l’Association GUIDE, laboratoire de métrologie GNSS qui se transforme en janvier 2018 en société coopérative dont les membres sont : CGX, GEOSAT, M3 SYSTEMS, OKTAL-SE, SILICOM et TERIA.
En janvier 2006, M3 Systems démontre un équipement innovant qui permet l’enregistrement des signaux émis par Giove-A, le premier satellite Galiléo. C’était le premier pas vers un produit d’enregistrement et rejeu des signaux GNSS.
En 2005, la filiale M3 Systems Belgium est créée, elle se spécialise dans le domaine du contrôle du trafic aérien et dans les applications du GNSS. Au fil des ans une forte expertise est développée sur le thème de la gestion des flux aériens ce qui permettra de proposer des innovations qui serviront de base aux nouveaux systèmes européens de gestion du trafic aérien développés dans le cadre du programme SESAR. Toujours en 2005, M3 Systems se fait remarquer en gagnant deux projets européens : AIRNET (Géolocalisation des véhicules aéroportuaires) et MITRA (Suivi des transports des matières dangereuses). Simultanément, la société est impliquée dans des études de performance des futurs systèmes EGNOS et participe à l’implémentation des algorithmes d’intégrité définis par les standards de l’Aviation Civile. Ces algorithmes seront implémentés dans la solution de géolocalisation des véhicules aéroportuaires qui va donner naissance au produit e-trackair.
En 2001, le CNES confie à M3 Systems une première étude sur les signaux Galiléo, c’est le début du GNSS dans l’entreprise.
Marc Pollina crée M3 Systems le 22 octobre 1999 et commence à travailler sur des projets dans le domaine du contrôle aérien avec Eurocontrol et de la radio-navigation par satellites avec l’Agence Spatiale Européenne.
